Quizás hayas oído esta canción en «La familia Belier». Allí -y aquí- recoge una realidad: el sentimiento de quien se ve ya con necesidad de volar. Y es que sí, hay momentos en que no puedes seguir atado, ni a lo de siempre, ni a una seguridad que no te deja respirar, ni a las expectativas que otros ponen en ti, y tienes  que encontrar tu propio camino, para volar…

Louane (Chambre 12)
 
Mes chers parents je pars
Je vous aime mais je pars
Vous n’aurez plus d’enfants
Ce soir
Je ne m’enfuis pas je vole
Comprenez bien je vole
Sans fumée sans alcool
Je vole, je vole
Elle m’observait hier
Soucieuse, troublée, ma mère
Comme si elle le sentait
En fait elle se doutait
Entendait
J’ai dit que j’étais bien
Tout à fait l’air serein
Elle a fait comme de rien
Et mon père démuni
A souri
Ne pas se retourner
S’éloigner un peu plus
Il y a à Gard une autre gare
Et enfin l’Atlantique
Mes chers parents je pars
Je vous aime mais je pars
Vous n’aurez plus d’enfants
Ce soir
Je ne m’enfuis pas je vole
Comprenez bien je vole
Sans fumée sans alcool
Je vole, je vole
Je me demande sur ma route
Si mes parents se doutent
Que mes larmes ont coulés
Mes promesses et l’envie d’avancer
Seulement croire en ma vie
Tout ce qui m’est promis
Pourquoi, où et comment
Dans ce train qui s’éloigne
Chaque instant
C’est bizarre cette cage
Qui me bloque la poitrine
Je ne peux plus respirer
Ça m’empêche de chanter
Mes chers parents je pars
Je vous aime mais je pars
Vous n’aurez plus d’enfants
Ce soir
Je ne m’enfuis pas je vole
Comprenez bien je vole
Sans fumée sans alcool
Je vole, je vole
Lalalalalala
Lalalalalala
Lalalalalala

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